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Desjardins sur le point de supprimer une centaine d'emplois
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Desjardins sur le point de supprimer une centaine d'emplois

« Ça suscite de l'inquiétude »

Maxime Albors

Selon les informations de Radio-Canada, le Mouvement Desjardins est sur le point de supprimer une centaine de postes.

La société d'État indique que ce sont les employés des bureaux de la rue Claire-Fontaine, à Québec, qui vont être majoritairement touchés par cette restructuration opérée dans les activités liées à la gestion de patrimoine ainsi qu’aux assurances de personnes.

Des informations qui semblent être confirmées par Guillaume Tremblay, conseiller à l'organisation syndicale à la Fédération indépendante des syndicats autonomes (FISA).

« Ce qu'on a [leur a] dit, c'est qu'il allait y avoir une période de transition, mais qu’essentiellement, en bout de piste [...] il allait y avoir environ de 100 à potentiellement 150 postes qui allaient être abolis. On n’en sait pas plus. C'est les approximations qu'on a », a-t-il expliqué en faisant référence à une rencontre qui s'est déroulée le 8 octobre 2024.

Desjardins sur le point de supprimer une centaine d'emplois
Guillaume Tremblay, conseiller à l'organisation syndicale à la Fédération indépendante des syndicats autonomes (FISA) / Crédit photo: Capture d'écran photo LinkedIn

D'après les informations de Guillaume Tremblay, il y aurait une centaine de postes supprimés chez Desjardins Gestion. Il y aurait également 20 à 30 postes supprimés chez Desjardins Sécurité financière. Ces suppressions de postes sont liées à l'acquisition de trois divisions de l'entreprise torontoise Guardian Capital Group Limited.

« Le souhait de l'employeur, c'est de se débarrasser de ces doublons-là et ils auraient choisi d'abolir les postes ici, au Québec [plutôt que dans les] autres provinces canadiennes », a-t-il fait savoir.

Desjardins sur le point de supprimer une centaine d'emplois
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« On aimerait bien en savoir plus. Évidemment, suivant une annonce d'abolition de postes, ça suscite de l'inquiétude chez nos membres. On souhaiterait être en mesure de répondre adéquatement à leurs questions, mais on est dans l'impossibilité de le faire », souligne Guillaume Tremblay.

Vous pouvez consulter l'article complet de Radio-Canada en cliquant ici.

Source: Radio-Canada