Mario Dumont se vide le coeur concernant les pourboires
Il dit tout haut ce que beaucoup de gens pensent tout bas
Si depuis la pandémie les consommateurs se montrent plus généreux dans leurs pourboires, Mario Dumont, dans une chronique pour le Journal de Montréal, estime qu'il y a une limite à ne pas dépasser.
Le chroniqueur revient notamment sur les pourboires suggérés sur les terminaux de paiement et déplore que le fameux 15 % soit désormais souvent absent.
« Souvent, j’ai vu trois choix sur le clavier: 18%, 20% ou 25%. Parfois pour du service «de base». On peut faire penser au client de donner davantage, mais ne même plus proposer le 15% comme une des options relève de l’exagération. La personne qui programme le clavier crée consciemment un malaise, une pression », écrit-il.
Mario Dumont pointe également du doigt, cette tendance à demander un pourboire lors d'un achat effectué à un comptoir.
« L’autre tendance, encore pire, c’est le clavier qui vous suggère un pourboire lorsque vous faites un achat à un comptoir. Pas vraiment de service, mais un pourboire demandé. J’achète un jus de pomme et un sandwich, on me suggère du pourboire sur le terminal de paiement », souligne-t-il.
« Ne soyez pas gêné(e) de tracer votre ligne entre générosité et abus.. », écrit le chroniqueur.
Vous pouvez lire la chronique complète de Mario Dumont en cliquant ici.